Body Positivity: Ma petite voix intérieure était ma plus sévère critique

Il y a quelques années, un burn-out m’a permis de comprendre la relation que j’entretenais avec mon corps. J’ai pu réaliser que ce sentiment d’inadaptation dû à mon corps, pas assez mince et donc, pas assez beau, me poursuivait depuis toujours. J’ai commencé mon premier régime à l’âge de 12 ans, puis, jusqu’au début de la trentaine, mon poids a fait le yo-yo entre les tailles 34 et 44. Je n’ai jamais eu le sentiment d’être à ma place. Je suis rentrée dans un cycle sans fin où je maigrissais, puis réparais sans cesse mon corps, alors qu’il n’a jamais eu besoin d’être réparé. Puis, il n’y a pas si longtemps, je me suis demandé pourquoi mon bien-être devrait dépendre de la teneur en graisse de mon corps. Et pourquoi j’accepterais que toute mon existence soit régie par les canons de beauté que d’autres personnes m’imposent. Notre monde ne serait-il pas ennuyeux si nous faisions tous la même taille ? Ces idées ont réellement bouleversé ma vie, car, jusqu’alors, je pensais que seule une perte de poids et avoir la soi-disant silhouette idéale pourraient m’ôter tous mes doutes. Je sais à présent que mon bien-être ne dépend absolument pas de quelconques idéaux, ni de la taille de mon corps, et j’ai appris à m’apprécier non pas en fonction des autres, mais uniquement en fonction de moi-même. J’admets que s’accepter tel que l’on est n’est pas facile. J’étais moi-même ma plus sévère critique.

"La chemise de nuit en flanelle est presque trop jolie pour rester cantonnée au lit ! Le matériau est incroyablement doux et je peux aisément imaginer comment je vais passer mes prochains dimanches !"

Ma petite voix intérieure n’a jamais cessé de me tracasser sur tout, me rappelant mes soi-disant défauts et me faisant remarquer que j’étais trop grosse et donc pas assez bien. Devant un miroir, je ne pouvais poser sur moi un regard bienveillant car je détestais chaque centimètre de mon corps. Mais j’ai appris à éduquer ma voix intérieure. Au début, les questions suivantes, que je me suis fréquemment posées, et que je me pose encore, m’ont aidée : « Qu’est-ce que j’aime en moi ? ». Je réponds dans ma tête, ou parfois à voix haute : « Mon courage, mon indépendance, mon humour, ma créativité ». Les autres questions sont : « Que fait mon corps pour moi ? En quoi puis-je remercier mon corps ? ». Je réponds, par exemple, que je le remercie pour mes jambes vigoureuses avec lesquelles je me déplace quotidiennement à Hambourg, ou pour ma sérénité face aux choses que je ne peux absolument pas changer. L’objectif de ces exercices est de se concentrer sur tout ce que notre corps nous apporte chaque jour et chaque seconde, et non pas sur ce à quoi il ressemble. Je sais que ce n’est pas facile. Et on ne se sent pas mieux immédiatement, ni tous les jours. Mais lorsque votre voix intérieure devient enfin votre amie, vous vous sentez de mieux en mieux. Ne perdez pas courage et complimentez également les autres, car c’est un bon exercice pour se complimenter de temps en temps. Et de préférence, ne ciblez pas uniquement le physique. Au lieu de « jolie coiffure », dites plutôt « quelle idée géniale ! »

"J’ai découvert CALIDA il y a quelques années lorsque je recherchais des soutiens-gorge simples, sans armatures et sans fioritures. Je trouve en effet qu’il n’y a rien de pire que des sous-vêtements trop serrés ! Les bustiers CALIDA sont donc parfaits pour moi, faciles à enfiler, en toute simplicité ! Ils ne me compriment pas, ne glissent pas et n’entravent pas ma liberté de mouvement."

"Outre la fonctionnalité et le confort, j’aime également les couleurs soutenues et intenses, le coloris « épicé » étant parfaitement adapté à ma carnation ! La durabilité et des conditions de production équitables étant très importantes pour moi, je trouve formidable que la collection CALIDA porte le label Oeko-Tex."

Grâce à son attitude positive et à une bonne dose de Girl Power, Melody Michelberger a conquis l’univers Instagram. Cette battante de Hambourg est experte en relations publiques, férue de mode, co-fondatrice de la plateforme TRUST THE GIRLS et, avant tout, maman ! De son vrai nom Melanie-Jasmin Jeske, elle incarne pour beaucoup le visage du mouvement « body positive » ! Il n’est donc pas étonnant que même Vogue l’ait remarquée. De nature honnête et encourageante, elle ne milite pas uniquement dans les réseaux sociaux pour une meilleure estime de soi et un soutien mutuel. Son crédo : critiquons moins, épanouissons-nous plus !

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